Bonjour Tianxiang,
Dans les phrases types de la séquence citée ci-dessus, la phrase : "Elle va au bureau à pied." est traduite par 她走路去上班。
Mais 上班 veut dire "aller au bureau", peut-on donc ne pas mettre le 去?
Cordialement.
Caroline
Bonjour Tianxiang,
Dans les phrases types de la séquence citée ci-dessus, la phrase : "Elle va au bureau à pied." est traduite par 她走路去上班。
Mais 上班 veut dire "aller au bureau", peut-on donc ne pas mettre le 去?
Cordialement.
Caroline
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(Modifié par Tianxiang LI. Écrit initialement le jeudi 22 octobre 2020, 19:59)
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Désolée de mon retard à réagir, ma vie étant un peu compliquée ces temps-ci avec un mari en récupération d’AVC, mais grand merci Tianxiang pour vos réponses toujours si détaillées et intéressantes, et pour ce forum très stimulant qui, après trois mois et demi de pause forcée par les circonstances, m’a complètement remotivée à terminer enfin la leçon 5 où j’étais restée bloquée. Et à attaquer la suite!
Cordialement
Françoise
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Bon retour au Club, Françoise,
Désolée d’apprendre vos circonstances difficiles. Meilleurs vœux de bon rétablissement à votre mari.
Cordialement
Dominique
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Merci Tianxiang, Fabienne et Dominique pour vos sympathiques messages. L’étude du chinois nous apprend entre autres les vertus de la longue patience, dont on a besoin aussi dans d’autres circonstances, comme celles que je vis actuellement...
Fabienne, j’ai quant à moi fait le parcours inverse, passée à l’étude du chinois après plusieurs années de japonais. Le japonais utilise les idéogrammes traditionnels avec souvent plusieurs prononciations différentes pour un même caractère selon qu’il est employé seul ou en composition, et parallèlement deux alphabets syllabiques distincts, et en ce sens d’un point de vue purement formel je trouve le chinois plus cohérent et épuré . Mais chaque langue a son génie propre et il n’y a pas lieu de faire des comparaisons.
Le fait de comprendre la « géométrie » des caractères est un atout dans les deux directions. Et la prononciation du japonais est très reposante par sa simplicité lorsqu’on vient du chinois!
Il est en tout cas passionnant de se plonger par le biais de la langue dans des modes de pensée si différents. Ce qui vraisemblablement nous motive tous.
Françoise
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(Modifié par Tianxiang LI. Écrit initialement le jeudi 29 octobre 2020, 12:07)
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Ah je ne savais pas, merci Tianxiang , c'est très gentil!
Françoise
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Bonsoir Fabienne
Beaucoup de questions en effet! Je vais essayer d'y répondre. J'ai commencé le japonais à une époque où internet n'existait pas encore (j'ai 73 ans..), en cours particuliers avec une japonaise sur base d'échange, et il n'a jamais été dans mon projet de passer les tests de certification. Je faisais à l'époque une formation en shiatsu (massage traditionnel japonais basé sur la médecine chinoise) et cherchais à m'approcher de la pensée orientale par le biais de la langue. Il s'est ensuite écoulé pas mal de temps avant que je décide d'apprendre le chinois et il ne m'a donc pas été difficile de compartimenter, d'autant que mis à part l'usage des idéogrammes, les deux langues n'ont rien en commun dans la structure et le fonctionnement. C'est très différent de quand on apprend parallèlement l'italien et l'espagnol, par exemple, où les interférences sont nombreuses.
L'alphabet syllabique facilite beaucoup l'entrée dans la langue, puisque au début les leçons sont entièrement en hiragana, les idéogrammes étant introduits progressivement, alors qu'en chinois il faut tout de suite s'approprier les caractères, à moins de se contenter du pinyin, ce qui manque vraiment de charme.
Mais en effet, je peux imaginer, en passant du chinois au japonais, qu'il n'est pas forcément simple de s'habituer à une prononciation complètement différente pour des caractères qu'on connaît déjà autrement.
S'il n'y a pas à proprement parler de conjugaisons avec des désinences comme dans les langues européennes, il y a des marqueurs de temps et de ce qu'on pourrait appeler de mode sous forme de particules accrochées à la racine verbale, mais invariables selon la personne. Et d'autres particules pour marquer la fonction d'objet ou de sujet. Donc quelque chose qui ressemble un peu plus à notre notion de grammaire et est moins déroutant peut-être que le chinois.
A mon époque, il n'existait pas vraiment de grammaire satisfaisante de la langue japonaise en librairie, il se peut que cela ait évolué. Les ouvrages que je possède sont assez confus et peu structurés. Ma professeure n'avait pas de formation d'enseignante, j'ai donc dû un peu me débrouiller par moi-même, avec elle c'était plutôt de la pratique. (Si vous habitez Paris ou la région parisienne, vous connaissez sans doute déjà la librairie Le Phénix, boulevard de Sébastopol, une vraie caverne d'Ali Baba pour tout ce qui touche aux langues asiatiques. Ca, c'est pur après le reconfinement...)
Et mon premier professeur de chinois était un Taïwanais doctorant en philosophie à l'université de Louvain, très intelligent, sympathique et drôle, mais pas non plus très didactique, autant dire que découvrir le cours de Tianxiang a été un vrai bonheur pour sa pédagogie très efficace et son approche adaptée à la pensée européenne.
Voilà pour aujourd'hui, j'espère avoir à peu près répondu à vos questions.
Cordialement
Françoise
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